Elle était la matriarche des orques de Marineland.
Et sa disparition à l’âge de 32 ans, annoncée le 20 juin dernier, avait
suscité une vive émotion. Le parc avait indiqué alors qu’il rendrait
publiques les résultats des analyses menées pour déterminer les causes
du décès de l’animal. Victime d’une longue maladie, l’orque Fréya est
finalement morte d’une « crise cardiaque », a révélé à 20 Minutes la
direction du centre, ce lundi soir. « Les conclusions des experts ne
nous ont été transmises que la semaine dernière », a également précisé
l’encadrement de l’espace marin d’Antibes, à nouveau endeuillé ce
12 octobre.

Sur ce blog, vous allez trouver des informations concernant tout ce qui touche à l’actualité francophone sur la page principale, mais aussi des activités complémentaires à votre cours de français. Pour cela, cliquez sur le lien correspondant à votre niveau dans la marge à droite. L'objectif est de vous donner un support supplémentaire pour travailler chez vous. J’espère que vous en tirerez profit !
Facebook va tester une section shopping sur mobile (20mn)
Gare à toi, Amazon. Lundi, Facebook a annoncé qu’il allait tester une
section « shopping » dans son app mobile. La nouvelle offre va
également permettre aux marchands de proposer des publicités directement
hébergées par Facebook, afin de ne pas renvoyer l’internaute sur un
site mobile extérieur.
Depuis le rachat de la plateforme de shopping en ligne The Find,
au printemps, Facebook monte progressivement en puissance. Mark
Zuckerberg a déjà testé un bouton « acheter » pour faire ses emplettes
sans quitter Facebook, mais le nouveau service va plus loin.
La section centralise toutes les marques et les boutiques suivies par
l’internaute. Des publicités peuvent également être insérées dans son
newsfeed. Après avoir cliqué dessus, l’utilisateur bascule dans un
environnement de shopping plein écran qui reste hébergé sur Facebook
afin d’accélérer le chargement. Entre les articles de journaux et la
dernière collection automne-hiver, vous n’aurez bientôt plus jamais
besoin de quitter Facebook.
Le vrai-faux des flux migratoires en France (20mn)
Haro sur les idées reçues. L’Insee
dévoile ce mardi les résultats d’une étude menée entre 2006 et 2013 sur
les flux migratoires entre la France et l’étranger. Loin de donner à
voir une immigration galopante, l’analyse de l’institut rétablit
quelques vérités sur la démographie française. 20 Minutes a listé cinq idées reçues, afin de les mettre à l’épreuve des faits.
La France attire de plus en plus d’immigrés.
VRAI. Entre 2006 et 2013, le nombre de personnes nées à l’étranger de
nationalité étrangère arrivées sur le territoire français a augmenté de
22 %. De 193.000 en 2006, il est passé à 235.000 en 2013, avec une
progression régulière depuis 2009.
La part d’immigrés dans la population augmente très fortement.
FAUX. Au 1er janvier 2014, la France comptait 8,9 % d’immigrés
(contre 8,1 % en 2006). Leur part dans la population s’est donc accrue
de 0,8 point seulement entre 2006 et 2014. Car si des immigrés
rejoignent la France, d’autres la quittent. En 2013, 95.000 d’entre eux
ont quitté le territoire français, soit trois fois plus qu’en 2006.
L’accroissement de la mobilité professionnelle de courte durée,
notamment intra-européenne, l’explique en partie.
L’augmentation de la population est due à l’afflux d’immigrés.
FAUX. Entre début 2006 et début 2014, la population résidant en
France a augmenté de 2,6 millions de personnes pour s’établir à
65,8 millions, sans compter Mayotte. Le solde migratoire, de +400.000
personnes sur la période, contribue pour 16 % à cette hausse.
Les Français quittent de plus en plus le territoire.
VRAI. Entre 2007 et 2013, le nombre de départs de personnes nées en
France a progressé de 5,2 % par an en moyenne. En 2013, près de 197.000
d’entre elles ont quitté le territoire, soit 59.000 de plus qu’en 2006.
Des chiffres dans la moyenne de l’OCDE, selon les experts, qui réfutent
l’idée d’une fuite des cerveaux.
L’augmentation des flux migratoires est plus forte en France qu’ailleurs en Europe.
FAUX. Elle n’est pas spécifique à la France. En 2013, le solde
migratoire dans l’Union européenne s’élevait à 575.000 personnes
(3,4 millions d’entrées et 2,8 millions de sorties), soit 594.000 de
moins qu’en 2006. La situation diffère simplement selon les pays : en
Allemagne, le solde migratoire augmente fortement ; en Espagne, il est
négatif. La France est au milieu.
Pesticides: Trois solutions pour désintoxiquer une Europe «accro» (20mn)

Les pesticides ne sont pas bons pour l’environnement. On les accuse
de dégrader la qualité des sols et des eaux, de s’infiltrer partout, de
nuire aux insectes pollinisateurs et même à nous, humains, sensibles aux perturbateurs endocriniens. Greenpeace le rappelle ce mardi dans un rapport intitulé L’Europe accro aux pesticides.
Car au-delà des nuisances des produits phytosanitaires, ce qui inquiète
l’organisation écolo c’est que leur utilisation ne diminue pas, au
contraire. Pour y remédier, Greenpeace propose plusieurs
recommandations, qu’on vous a résumées ci-dessous en trois grands
points, en y adjoignant l’éclairage de Christian Huygue, directeur
scientifique adjoint de l’agriculture à l’Institut national de la recherche agronomique (Inra).
1 – Changer le système
Greenpeace appelle ça « briser le cercle vicieux de l’utilisation des pesticides ».
Ce cercle, Christian Huygue le reconnaît, est bien constitué : « Tout
le système est organisé autour du phytosanitaire, admet le scientifique.
On est dans un état d’équilibre de chacun par rapport aux autres autour
d’une technique de base qui est le phytosanitaire. » Un
quasi-verrouillage qui rend difficile le changement : il faut que tout
bouge, sinon rien ne bouge. Par exemple, la rotation des cultures ne
peut se faire que si les clients de l’agriculteur comprennent qu’il est
dans l’impossibilité de livrer la même production à chaque saison. Les
solutions énumérées par Greenpeace (biodiversité fonctionnelle,
meilleure gestion des sols, méthodes de lutte antiparasitaires
naturelles, etc.) ne sont réalisables que si tous les acteurs
s’accordent pour les mettre en place.
2 – Revoir l’évaluation des risques
Dans son rapport, Greenpeace évoque deux soucis dans le système
d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires : les
analyses se font sur la substance active du produit et oublie les
additifs (solvants, agents de surface). Et l’effet « cocktail », né du
mélange dans les champs de produits testés séparément, est mal géré. En
gros, un produit validé en labo pourra avoir des effets nocifs imprévus
en vrai. « Il y a dû y avoir une période où on ne regardait pas ça avec
assez de vigilance, pense Christian Huygue, mais aujourd’hui on évalue
le principe actif et les additifs. » L’effet cocktail, lui, « est plus
compliqué à évaluer. On ne prévoit pas tous les scénarios, mais en cas
d’alerte l’ensemble du système repart en étude et l’autorisation de mise
sur le marché peut être retirée ».
3 – Prévoir un soutien politique et financier
Réorienter la recherche publique, arrêter de subventionner les
pratiques nocives de l’agriculture industrielle, jouer sur la fiscalité
pour décourager l’utilisation des pesticides : pour Greenpeace, le
problème est aussi politique. Christian Huygue, lui, se veut optimiste.
« La volonté politique existe », estime-t-il, tout en prévenant : « Il
ne faut pas que cette volonté baisse, car les pesticides font partie des
enjeux majeurs pour les années à venir. » Pour le scientifique, même si
la recherche a encore du boulot, « aujourd’hui il y a beaucoup
d’investissements et on se dirige clairement vers des solutions. Le
système bouge, même si ce n’est jamais à la vitesse que l’on
souhaiterait ». Libre à Greenpeace d’essayer d’appuyer sur
l’accélérateur.
Johnny Hallyday annonce un 50e album studio pour novembre (20mn)

« Ces derniers mois, nous nous sommes remis au travail et nous avons
enregistré un album ensemble, mon 50e album studio et probablement le
plus intime de tous mes albums », a annoncé la star en concert au stade
Pierre-Mauroy.
Rejoint sur scène par le musicien Yodelice
Pour faire cette annonce surprise, Johnny Hallyday a été rejoint sur
scène par le musicien Yodelice (Maxim Nucci) avec qui il a interprété la
chanson « De l’amour », premier extrait de ce nouvel album qui portera
le même nom.
L’annonce de ce nouveau disque, qui paraîtra seulement un an après
« Rester Vivant », a été chaleureusement acclamée par un public debout
dans le stade de Lille, qui affichait complet avec 22.000 spectateurs
selon le producteur. Johnny Hallyday, 72 ans, est reparti début octobre
pour l’une de ces tournées marathon qu’il affectionne.
Suscribirse a:
Entradas (Atom)